Le territoire intelligent est économe en ressources
Le territoire intelligent prône une utilisation raisonnée des ressources afin de les préserver pour les générations futures.
Selon les projets, les territoires intelligents peuvent mettre en œuvre tout ou partie de principes de sobriété :
- encouragement des usagers aux bonnes pratiques (tri sélectif…),
- performance du bâti (isolation, étanchéité à l’air, toitures végétalisées…),
- bâtiments intelligents, capables d’adapter leur confort et leurs services aux usages de leurs occupants,
- énergies renouvelables (centrale photovoltaïque, énergie photovoltaïque en autoconsommation, réseaux de chaleur et de froid…),
- vision globale mise en œuvre de manière cohérente sur un périmètre important (quartiers durables ou écoquartiers),
- smart grids, solutions technologiques complètes qui englobent tous les réseaux et optimisent la production d’énergie, pour l’adapter au mieux à la consommation en temps réel de l’usage.
Approche « smart » et bonnes pratiques
Nombre de services rendus par la collectivité peuvent, grâce aux avancées technologiques, devenir plus « smart », c’est-à-dire plus économes en énergie, en travail humain, en eau, en foncier..
- éclairage public intelligent déclenché à l’approche d’un piéton ou d’un véhicule
- conteneurs intelligents pour la collecte des déchets,
- parking intelligent signalant les places inoccupées et services de parking partagé
- télégestion des réseaux d’eau (une pratique déjà répandue),
- gestion énergétique optimisée pour les bâtiments publics…
Ces économies s’ajoutent à des pratiques plus classiques mises en œuvre par la collectivité : éclairage public à Leds, entretien différencié des espaces verts, mutualisation de locaux publics…
Les circuits courts
Sur un territoire intelligent, la collectivité peut se montrer vertueuse par le recours aux circuits courts pour ses propres consommations (restaurant scolaire, approvisionnement d’une chaufferie collective en combustible local…). Elle peut aussi encourager les consommations locales et l’autoconsommation par des marché de producteurs, la possibilité de maraîchage urbain, la création de jardins partagés… autant d’initiatives sur lesquelles l’attente est forte.
Produire de l’électricité avec de l’eau potable
Lorsque la ressource en eau est captée en altitude, des brise-charges sont généralement installés sur le réseau pour briser la pression de l’eau jusqu’au réservoir. Une turbine placée entre le captage et le réservoir peut assurer le même rôle tout en produisant de l’énergie électrique.
La ville devient perméable
Pendant des décennies, on a évacué les eaux de pluie comme si elles constituaient un déchet, en les envoyant dans des tuyaux vite engorgés en cas de très fortes précipitations.
Assises européennes de la transition énergétique 2018
TERACTEM et sa filiale ÉNERGIES RENOUVELABLES DES ALPES ont participé, en tant que partenaire du département, à la 19e édition des Assises de la Transition Energétique organisée par le Grand Genève les 20, 31 janvier et 1er février 2018.
Ces assises ont constitué une occasion pour TERACTEM d’échanger avec les acteurs de la transition énergétique et de présenter ses propres projets d’innovation du moment, notamment son projet de réseau d’énergie et les solutions envisagées pour répondre à la question du dernier kilomètre de nos trajets quotidiens.